• Présentation

    Crédits: sims par moi, vaisseau spatial: Barghest Stock by dmaland on Deviant art


     

    Bienvenue sur ma troisième histoire  L'union interstellaire !

    Cette histoire est un space opera qui se déroule dans le même univers que Dernière chance, mais quelques centaines d'années plus tard.

    Pour ceux qui l'ignoreraient, je suis une grande fan de la trilogie Starwars (la vraie, celle avec Harrison Ford et Mark Hamill et Carrie Fischer!) et donc toute ressemblance avec l'oeuvre de George Lucas est juste une conséquence de l'imprégnation de mon cerveau par cette saga. Vous y trouverez donc des histoires d'amour, des histoires de famille, des vaisseaux spatiaux, de la vitesse supraluminique... Inutile par contre d'attendre les Ewoks ou les Wookies, il n'y en aura pas!

    Je vais essayer de l'illustrer avec les sims2 mais je pense que je ferai beaucoup moins d'images que sur mes précédentes histoires. Si jamais je décidais de renoncer aux sims, (victime comme tant d'autres d'erreurs fatales, découragement ou autres), je continuerai quand même à publier la suite, vu que tout le texte est rédigé. Par contre, je ne garantis pas un rythme de publication très rapide!

    Et au cas où, un "avertissement aux lecteurs": il peut y avoir (au fond, on ne ricane pas!) un "petit" peu de violence par ci, par là, pour ne pas faire mentir ma réputation de sadique envers mes personnages ^^.

    Bonne lecture : c'est par .

    Koe


     

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  • Prologue1    En entendant les portes s’ouvrir, le jeune homme se leva, comme toutes les autres personnes présentes à l’audience. Le magistrat pénétra dans la pièce et jeta un regard circulaire dans la salle. L’assistance était séparée en deux travées. Tout le monde était dans celle de droite, sauf le fils de la défunte.

      « De par les droits qui me sont conférés dans ce tribunal par les lois en vigueur sur la planète Rhyway, j’affirme que le plaignant Donatien Fox-Genery est débouté de ses droits. Tout l’héritage de Moïra Genery ira aux personnes désignées dans le texte trouvé dans sa chambre après sa mort, à l’exception du petit vaisseau stellaire appelé “The Hook” et de la somme actuellement déposée sur un compte qui iront à son fils. Par ailleurs, la naissance douteuse de ce dernier lui interdit de retourner au Centre d’Études Supérieures Militaires de Rhyway. L’audience est levée. »

      Toute la travée de droite se leva pour applaudir, tandis que Donatien baissait la tête, effondré. Tout était perdu et sa vie n’avait plus aucun sens. Son beau-père l’apostropha avec mépris.

    - Tu aurais dû m’écouter et accepter ton sort, morveux ! Je trouve encore que tu as beaucoup de chance, pour un bâtard ! Tu as intérêt à disparaître car si je te revois à proximité de ma propriété, c’est   aux vigiles que tu auras affaire !

      Le jeune homme fixa Stanford Rayan de son regard gris devenu métallique et haussa les épaules.

    - Quoi que vous puissiez dire ou faire, je sais que c’est vous qui avez fait assassiner ma mère. Et un jour, vous serez jugé pour vos crimes. Je sais aussi que la petite garce qui se tient à vos côtés n’a fait semblant de s’éprendre de moi que pour être plus proche de la fortune qu’elle croyait devoir être mienne. Dès que le vent a tourné, elle s’est jetée dans votre lit. Mais méfiez-vous d’elle ! Dès qu’elle trouvera un pigeon plus puissant que vous, elle mettra le grappin dessus, et essaiera de vous enfoncer. Je ne comprends pas pourquoi ma mère vous faisait confiance et vous admirait. Tout ce que je sais, c’est que je vous méprise, Stanford, vous et votre chasseuse d’héritage !

      A cet échange insultant, la jeune femme blonde outrageusement maquillée poussa un petit cri.

    - Oh ! Stan ! Comment peux-tu lui permettre d’insinuer des choses pareilles ?

    - Présente tes excuses à la dame, Fox !

    - Quelle “dame” ? Je n’en vois aucune ! »

    Prologue

      Le jeune homme se détourna et sortit du tribunal, le cœur en lambeaux. En moins d’une semaine, il avait assisté à la mort de sa mère, il avait appris que le premier mari de sa mère n’était pas son vrai père, et qu’à cause de cela et d’une lettre soi-disant découverte dans la chambre de Moïra, il n’avait aucun droit sur l’héritage de sa mère. Il n’était qu’un bâtard, et il ne savait même pas de qui ! Et en plus, Jennie, la fille qu’il croyait aimer le laissait tomber parce qu’elle ne s’intéressait qu’à sa fortune. C’était vraiment plus qu’il n’en pouvait supporter. Il n’avait que dix-neuf ans. C’était beaucoup trop jeune pour pouvoir lutter contre son beau-père et contre le sort qui venait de bouleverser sa vie. La justice expéditive donnait raison au plus fort. Stanford Rayan était le représentant sur Rhyway de l’Union Interstellaire qui régissait d’une main de fer la plupart des systèmes civilisés. Quel espoir pouvait-il avoir en essayant de se battre contre lui ? Il avait été naïf de croire en la justice. Il n’avait jamais eu aucune chance…

      Perdu dans son désespoir, Donatien marcha longtemps dans la capitale de Rhyway, les yeux perdus dans le vague avant de s’écrouler sur un banc du parc public. Il se prit la tête entre les mains et laissa couler les larmes qu’il retenait depuis trop longtemps. À sa ceinture, son blaster se fit plus lourd. Il le soupesa. Encore une chose à laquelle il n’avait légalement plus droit, puisque l’arme faisait partie de l’uniforme de l’académie militaire d’où il venait d’être chassé. L’idée tentante d’en finir une fois pour toutes s’imposa à lui. Pourquoi donc s’entêter dans ce monde dans lequel il n’avait manifestement plus sa place ?

    Prologue

    - Petit garçon, pourquoi tu pleures ?

        Le jeune homme sursauta et leva la tête. Devant lui se tenait une toute petite fille qui l’observait avec attention. Elle serrait dans ses bras un lapin en peluche bleue.

    - Petit garçon, pourquoi tu pleures ? répéta-t-elle avec insistance. Donatien sourit et essuya ses larmes d’un geste brusque.

    - Je crois que je ne suis plus vraiment un petit garçon. Et je ne pleure plus !

    - Oh ! Tu t’es trompé ! protesta l’enfant. Tu devais dire : « Parce que j’ai perdu mon ombre ! » Alors je te l’aurai recousue.

    - Quel est ton nom ?

    - Wendy Moïra Angela Darling ! Et toi ? Tu es Peter Pan ?

        Donatien se détendit. « Comment connais-tu Peter Pan? Je croyais que ma mère était la seule personne à connaître encore ce conte pour enfants ? »

    - Mais ce n’est pas un conte pour enfants ! Alors, pourquoi tu pleurais ? Comment tu t’appelles ?

    - Donatien. Et je pleurais parce que ma maman est morte, que je n’ai pas de papa et qu’il ne me reste plus rien sur cette planète, ni ailleurs…

    - Alors tu dois faire comme Peter Pan ! Tu dois partir pour l’île des enfants perdus et te battre contre le capitaine Crochet !

      Donatien sourit tristement.

    Prologue

    - Tu as sans doute raison. Et toi ? Quel est ton vrai nom, enfant perdue ?

    - Johanne ! Tu sais, c’est pas loin, l’île des enfants perdus ! Tu prends tout droit jusqu’à l’étoile du matin…

    - Je connais le chemin ! Mais tu sais, il faut une pensée agréable pour pouvoir s’envoler et en ce moment, je ne peux pas dire qu’elles se bousculent dans ma tête ! Mais ce n’est pas grave… Merci, Johanne ! Merci Wendy Moïra Angela Darling ! Tu m’as redonné un peu d’espoir ! Alors, comme dans l’histoire, je vais te donner un baiser !

        Elle éclata de rire et tendit la main. Amusé, Donatien secoua la tête et se pencha vers elle. Il posa un baiser sur sa joue.

        La fillette le regarda avec étonnement et sembla prendre une décision.

    - Tiens, Peter Pan ! Je te donne mon lapin ! Ce sera ta pensée agréable pour t’envoler vers l’île des enfants perdus ! D’accord ?

        Donatien hésita puis tendit la main pour prendre le jouet. Il le serra contre lui.

    - Je ne t’oublierai pas, Johanne Darling !

    Prologue

        Le jeune homme au regard si triste regarda la fillette courir rejoindre sa mère qui l’appelait.


     

    Chapitre 1


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  • Histoire référencée sur

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  • Comme j'aime bien mon Don ado et que j'avais pris une photo pour rien dans le jeu, le voici en gros plan et  pour Nienna:


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